En avril 2019, mon roman
Le Chant mortel du soleil paraîtra aux éditions Albin Michel. Il
s'agira d'une fantasy brute. Avec des dieux et des hommes, des
esclaves et des maîtres, des sorciers et des barbares (surtout des barbares...)
Le tout sous une
couverture de Guillaume Sorel (himself !)
Le pitch :
Il s’appelle Araatan, il est le Grand Qsar. On le
surnomme la Montagne car il est haut comme deux hommes, large comme
un auroch. Le destin de ce géant est de mener son peuple de
cavaliers sur la route de la Toute Fin : achever l’extermination
totale des dieux. Une seule divinité a survécu à leur déicide
: celle de la cité d’Ishroun. Pour abattre les murailles d’Ishroun
et éteindre le culte de la Première Flamme, Araatan se donne un an.
Elle s’appelle Kosum. Née esclave, elle était la
meilleure dresseuse de chevaux des plaines. Pour avoir tenté de
castrer le fils de son maître, elles a été enchaînée nue à une
tour pleine de morts. Alors qu’elle attend résignée le baiser
mortel du gel, quatre cavaliers la délivrent. Ces hommes durs
retournent auprès du Grand Qsar. Kosum, qui croyait mettre un pied
dans la guerre, va entamer un tout autre voyage.
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